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 Alan Linard -

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Alan Linard


Alan Linard

Localisation : Dans les ruelles de Paris, lorsqu'à Montmartre il fait nuit...

Dirty little secrets
Âge RP: 21 ans.
Clan: Negens.
Relations:

Alan Linard -  Empty
MessageSujet: Alan Linard -    Alan Linard -  EmptyJeu 26 Aoû - 18:47


AlanLinard

Alan Linard -  Aaale


    ● Nom: Linard.
    ● Prénom: Alan.
    ● Date de Naissance et Âge: 16 novembre 1893 - 107 ans ( physiquement - 21 ans ).
    ● Nationalité: Française.
    ● Groupe: Vampire - Sang-froid.
    ● Appartenance à un clan, si oui, lequel : Negens.
    ● Métier: Thanatopracteur , travaillant uniquement pour les Pompes Funèbres.
    ● Lieu de Résidence: Dans les alentours de Montmartre, avec d'autres Negens.

▪ QUI AI-JE ÉTÉ ?
    ● Caractère:
    Dans les ruelles sombres de Paris, à des heures essentiellement tardives, il est possible d’entrevoir un personnage hors du commun. Un personnage aux traits souriants, aux traits attrayants et chaleureux. Le genre de personne par laquelle on se laisserait totalement envouter. Il est vrai ; il suffit parfois d’un sourire amicale à la limite de la candeur pour succomber. Or, si la naïveté est inscrite sur le visage de ce jeune homme, il en est tout autre. Il lui est arrivé maintes et maintes fois d’attraper la main qu’on lui tender et de la broyer. Se fier aux apparences, surtout avec les vampires comme lui, est, en plus d’être dangereux, d’une imprudence et inconscience totale. Car sous ses airs d’humain guilleret et attachant se cache le pire des monstres. Un monstre capable d’égorger ses proies en un claquement de doigts. Un monstre capable de faire frémir de terreur ceux qui s’aventurent trop près de lui, de les torturer durant des heures pour entendre leurs simples cris horrifiés de douleur. Un individu machiavélique qui saisit toutes les opportunités qui lui sont proposées pour trouver un peu de plaisir et d’amusement. Très joueur, il trouve toujours le moyen de tirer d’une situation un avantage quelconque qui lui permettrait de s’en sortir à son aise. Sadique, psychotique et bipolaire, il change souvent d’humeur comme de chemise. Changer d’humeur pour mieux s’apprécier le jeu qui est en train de se dérouler. Malgré cet esprit taquin et ses désirs de domination sur les autres, il aime les esprits forts qui savent lui tenir tête. Mais ce ne sera pas choses facile de pouvoir tenir tête longtemps à ce joli brun lorsque l’on peut facilement se sentir oppressé et mal à l’aise. Très tactile et troublant, il sait arriver à ses fins pour déceler les secrets et troubles des autres. Et dans sa nature de joueur hors pair, il s’en amuse. Se moquer du malheur des autres, se moquer d’une personne pour mieux se divertir ? Quoi de plus banal ? Cela le rendrait presque humain.
    Souvent, le peu de personnes qui le connaissent se disent qu’il ne sert en rien à le blâmer avec ce qu’il a vécu. Et pourtant, lorsqu’il était encore humain, il avait déjà ces traits de caractère bien prononcés. On dit aussi que le vampirisme monte souvent à la tête de ceux qui deviennent des Non-Morts, les rendant totalement fous. Il est clair que, dans le cas du français, la folie vampirique n’a fait qu’accentuer l’ignominie qui régnait en lui.
    Déjà fasciné par la mort, alors qu’il était encore tout à fait humain, il lui était souvent arrivé d’étudier les corps qu’il retrouvait lorsqu’il était petit dans la mine où il travaillait. Cette fascination ne s’arrêta pas à l’observation. Une fois son frère mort et ses parents ne pouvant contrôler l’aliénation grandissante du garçon, il fut enfermé à la cave, laissant libre court à ses activités avec les rats et toutes sortes de petites bestioles qui se faufilaient entre ses doigts. La dissection.
    Et cette adoration des corps humains et animaux ne firent que grandirent, grandirent et faire parties entièrement de son être, ne vivant que pour mieux connaitre ces corps qu’il semblait découvrir à chaque fois.
    L’émerveillement. Un sentiment d’enfant qui ne le quitta jamais. Oui, car le vampire restait et demeurait l’enfant enfermé dans cette obscure cave. Un enfant éblouie par les merveilles de la vie mais aussi un enfant colérique qui savait que si ses caprices n’étaient exaucés, il ferait en sorte que quelqu’un en paye les conséquences…


    ● Physique:
    Même avant sa transformation, il faut avouer que ce jeune homme n'étais pas désagréable à regarder, même si sa folie se reflétait dans les bleus-verts de ses yeux. Un visage plutôt candide, qui laissait voir que son enfance venait tout juste de s'envoler, laissant place à un homme fort et capable de se débrouiller seul. Avec une carrure plutôt carrée et assez musclée grâce à ses nombreux mois, à ses nombreuses années, passaient à ramper dans les tranchées et sous les fils barbelés. Plutôt grand pour son époque, à l'âge de quatorze ans à peine, il mesurait déjà ses un mètre quatre-vingt-sept de hauteur. Son visage ovale laisse apparaitre des joues légèrement creusées et de fines fossettes aux coins des lèvres lorsqu'il sourit. Presque son visage s'adaptait à n'importe quelle expression car, lorsqu'il fronce les sourcils, de légers petits plis sur son front se forment, accentuant cet air interrogateur. Même lorsqu'il s'énerve, il plisse le nez, relevant légèrement la lèvre supérieure, ce qui laisse entrevoir l'une de ses canines acérées. L'on peut aussi aisément voir derrière ses fines lèvres étrangement rosées pour sa race, se cacher des crocs pointus, prêts à tuer humains qui se trouvent sur son chemin. Ses cheveux bruns foncés, tirant plus vers le noir, contraste absolument et parfaitement avec cette peau nacrée et blanche. Souvent, il est assimilé à un gothique s'amusant tout simplement à copier le style rebelle, mystérieux et mauvais genre. Amusé d'une telle similitude, il s'arrangea pour ressembler au maximum à ses humains aimant la couleur et l'odeur des ténèbres ; habillés souvent de noir, rouge foncé ou bleu, il ne se sépare jamais de sa longue veste en cuir qu'il s'est gentiment offert. Du moins, qu'il a volé à l'une de ses victimes. Enfouissant son jean noir à l'intérieur de ses Rangers, il est l'archétype même du vampire.
    Et pourtant, même si ce style typiquement humiliant pour les vampires lui plait énormément, il doit souvent être contraint de porter une chemise ou carrément un costard lors des grands réunions entre Negens. Ne pas faire honte à sa race, rester fier et présentable en tout point. Tel était l'objectif de tous les Negens qui avaient la chance d'assister à de tels rassemblements.
    Étant un rebelle avant d'être un Negens, il lui est arrivé à de nombreuses reprises de ne pas se changer et de rester tel quel, affichant fièrement le tatouage ornant son cou. Même si cela offensait la " cours " ainsi que celui qui l'avait crée, il savait qu'au fond, Alexseï enviait cette pointe d'arrogance et d'insolence. Cette " marque " prouvait aussi à ce Dragomir à quel point être un vampire pour le jeune Alan était plus qu'une fierté, mais un honneur.

▪ L'HISTOIRE DE MA MORT
    ● Histoire:
    France, 1893. C’est durant le courant littéraire du réalisme que le jeune Alain Perrin Linard naquit. Or, le jeune bambin ne naquit pas tout seul : en effet, sa mère, en plus de lui donner naissance, elle laissa aussi sortir une autre petite tête, un autre petit garçon, Alec Jérome Linard. Né dans un petit village près de Marseille, il était déjà entouré de trois frères et quatre sœurs. La vie en banlieue, à cette époque là, n’était pas facile pour tout le monde et surtout pour le monde ouvrier. Les Linard étaient ouvriers de père en fils, voir même de mère en fille, et avec la seconde Révolution Industrielle, les mineurs se retrouvèrent avec de moins en moins de travail. Heureusement pour la famille Linard, le travail ne manquait pas et la mine dans laquelle ils travaillaient était restée ouverte, une chance inouïe pour eux. Alan grandit donc dans une famille de mineurs, ce qui voulait dire qu’il ne serait jamais riche, entouré de choses luxueuses, jamais la nourriture ne serait en abondance et il récupérerait toujours les affaires de ses frères et sœurs.

    Jusqu’à l’âge de 5 ans, son frère et lui avaient réussit à éviter de descendre dans le ventre répugnant de la mine, qui, chaque jour, recrachait des victimes, mortes ou , lorsqu'elles étaient dépourvues de chance,vivantes. Ils descendirent donc un lundi 16 mars 1891 dans les entrailles de la bête. Ensemble, même s’ils étaient jeunes, ils faisaient un merveilleux travail. Les jours, les mois et les années passèrent et les deux garçons avaient déjà 9 ans. Lors d’une sortie à la mine, il y eut des précipitations. Au départ, la pluie tombaient lentement, petites gouttes par petites gouttes, puis, elle se mit à s’accélérer jusqu’à ce que la pluie se transforme en torrent. L’eau pénétra vite à l’intérieur de la mine, provocant ainsi des éboulements et suite à ces événements, le frère du jeune Alan. Le corps rapporté à la famille, celle-ci vécue un deuil relativement court et passa très vite à autre chose. Depuis ce jour, Alan se renferma sur lui-même, continuant à exécuter la tache qui lui était donnée, sans même qu’il n’ait décidé, bien avant sa naissance.

    Quelques mois plus tard, les parents s’aperçurent qu’Alan souffrait d’un trouble de la personnalité et ceci, depuis la mort de son jumeau. Tantôt agressif, tantôt simplet, la famille Linard ne savait que faire de cet aliéné. La seule chose qu’ils trouvèrent à faire, fut d’enfermer le garçon au sous-sol et parfois, ils l’attachèrent même pour l'éviter de blesser quelqu'un ou de se blesser lui-même.

    Mais la guerre arriva bien vite et les enfants de la famille Linard furent appelés à contribuer à cette guerre, par patriotisme. Comme Alan faisait toujours partit de la famille, il devait aussi partir faire la guerre. Les parents, malgré rustiques et peu compréhensifs, ne voulaient tout de même pas que leur fils cadet, même « fou », parte aussi. Ils eurent beau plaider la folie, leur fils dû tout de même partir. Sans trop comprendre, et après des années d’enfermement au sous-sol, Alan se retrouva tout d’un coup dehors nez à nez avec une humanité vengeresse. Il entra dans compagnie et retrouva plusieurs jeunes de son âge. 1914 est la guerre faisait déjà rage, arrachant les enfants aux parents. Des civiles tués, des familles détruites et tout ceci en moins de quelques mois. Envoyé au front avec ses frères et son père, il ne les revit pourtant jamais sur le champ de bataille.

    Envoyé dans les tranchées le jour de son anniversaire, Alan avait déjà 21 ans, et à cette époque-là, on est déjà un homme. Retranché avec 4 autres soldats, ils apprirent vite à se connaitre et Alan, retrouvant goût à la lumière et au bien fait du vent malgré la guerre, se détacha petit à petit de sa double personnalité, laissant son frère partir se reposer loin de cette première guerre mondiale. Après plusieurs jours d’entente et d’amitié, Alan vit, un à un, ses camarades tomber au champ d’honneur. Bientôt, il se retrouva seul face aux Allemands et la folie le reprit : il se mit à bombarder chaque Allemand qui passait, à les viser dans les jambes ou les bras pour les faire souffrir un maximum et tout ceci, avec un sourire à la limite du sadisme.

    Après quelques mois de guerre, il fût envoyé en maison de repos, pour avoir une nourriture plus saine et vivre pendant quelques jours dans un cadre de vie moins mouvementé. Il refusa , durant son temps libre, de retourner chez lui et profiter de cette famille qui l'avait abandonnée. Alan en profita alors pour partir à Paris et y trouva des lieux aménagés pour les soldats pour profiter de leur temps libre afin d’oublier, ne serait-ce que pour un temps, la guerre. Pour lui commença une vie de débauche, une vie qu’il n’avait jamais connu : sexe, alcool, cigarettes et même produits illicites. Tout était là pour permettre aux soldats d'oublier la guerre et de leurs permettre, lorsqu'ils retourneraient au front, de mieux combattre. Il enchaînait les bars en se résignant à rester celui qu’il avait été au combat : un homme sans peur, déterminé et sadique. Bientôt son mandat était terminé et il devrait bientôt retourner à la guerre, mais cela ne le dérangeait pas, il avait apprit à aimer tuer. Il se remémorait aussi, chaque soir, la sensation de tuer chaque soldat ennemi, leurs cris, leurs pleurs, leur désespoir.

    Mais un soir, sa vie bascula ; totalement anéantit, complètement saoule, n'ayant plus de raison de vivre - même si servir son pays est un honneur, lorsque plus rien ne vous attend, quel plaisir y a-t-il à défendre un nation dont vous vous moquez totalement ? - toujours en permission, il se permettait de flâner dans les rues Parisiennes à la recherche d'un divertissement moins monstrueux qu'à son habitude.
    Sa vue, légèrement troublée, il aperçut quelque chose, ou plutôt quelqu'un en train d'assassiner un compatriote. Peut-être même était-ce un soldat des mêmes rangs que lui. Ne voyant rien de là où il était, il dût se rapprocher. A ses risques et périls. S'approcher d'un individu dangereux en étant en état d'ébriété ne pouvait qu'apporter des soucis. Mais, étrangement, le jeune homme était fasciné par cette homme en train de tuer. Il entendait déjà les munitions s'enclencher dans le chargeur de sa baïonnette.. Et son regard bleu vert croisa celui gris du meurtrier. L'homme savait qu'en cet instant, rien ne serait comme avant. Pour les deux hommes. Dès lors, il était impossible au jeune soldat de s'enfuir mais après tout, ses pieds s'y refusèrent. Comme hypnotisé, il ne pouvait plus rien faire. C'est alors que celui qui deviendrait bientôt son créateur, s'approcha de lui. Ils ne s'adressèrent pas la parole. Alan était bien trop surprit et paralysé pour espérer pouvoir parler. Seulement les crocs acérés de cet étranger et le sang qui continuait de perler au coin de ses lèvres. Alan déglutit. C'est tout ce qu'il put faire. Attendre une dernière fois les battements de son cœur. Il n'eut même pas le courage de reculer d'un pas, de s'enfuir. Toujours rien. Puis plus rien.

    Réveillé par le soleil qui lui brûlait légèrement la peau, Alan continua de flâner le temps de sa permission. Ce ne fut réellement que lorsqu'il reprit son travail dans les tranchées qu'il s'aperçut du changement : sa soif. Une soif grandissante qui ne laissait place qu'à la folie meurtrière. Près de deux ans passé dans la boue, avec les puces et toutes autres maladies qui ne l'atteignaient jamais. A se nourrir des ennemis Allemands lorsqu'ils tentaient une offensive.

    Une fois le traité de signé entre les deux nations, Alan ne put se résoudre à rentrer chez lui, dans sa petite bourgade provençale. Quelque chose le poussait à rester dans cette ville. Quelque chose d'inexplicable mais de tellement fort et puissant. Pourtant, il sentait une aura le surveiller. Quelque chose entre la bienveillance et la malveillance. De ténébreux mais envoutant.

    Le vampire ne pouvait se résigner à partir, ce qui ne lui empêcha pas d'apprendre des autres civilisations qui l'entouraient et de ce pays qui ne semblait qu'évoluer de jours en jours.

    Mais alors qu'il se nourrissait d'un misérable clochard, il sentit cette aura derrière lui. Cette chose qu'il ne pouvait même pas espérer toucher. C'était lui. Cet étranger aux yeux gris. Perturbé et apeuré de le revoir après tant d'années, celui-ci lui proposa un logis mais aussi une garantie de ne plus se rassasier de sans abris. Terrifiant malgré cette tranquillité qu'il lui apportait, Alan ne s'est jamais réellement fié à cet homme qui était son Créateur. Découvrant peu à peu les siens au sein des Negens qu'il n'appréciait pas forcément, Alan y apprit un métier qui le fascinait depuis sa plus tendre enfance : la thanatopraxie. Même si celui qui l'avait crée le considérer comme son fils, un fils qu'il aimait plus que tout au monde, tout deux avec leur caractère, ils savaient que l'ambiance serait souvent électrique.

    Surtout lorsque l'on cache l'existence d'autres créatures.

    Sur recommandation de son patriarche, il dut se rendre dans un magasin d'arme et acheter une arme spéciale avec des balles en argent. Dans cette petite boutique, jamais il n'aurait pensé avoir à faire à ce genre de créatures tellement différentes de lui...

    Malgré cela, le jeune vampire ne cesse d'apprendre dans cette ville où tant de secrets restent à être découverts...


    ● Précisions:
    - Alan possède un tatouage dans le cou, des sortes de petits points calligraphiques fais à l'emplacement même de sa morsure, représentants la Constellation d'Orion.
    - Alan a dû mal avec son reflet, c'est pourquoi il ne se regarde que rarement dans un miroir et évite souvent le regard des autres.
    - Plutôt intelligent alors qu'il partait d'une époque et d'une famille où la connaissance était faite pour les fumistes, il parle plusieurs langues et a suivit des études de médecine pour assurer son métier de thanatopraxie.
    - Assez minutieux, il aime noter tout un tas de choses dans un calepin.
    - Malgré la relation électrique qui règne entre lui et son Créateur, il le respecte et l'adore lorsque ce dernier prend ses airs paternels pour s'occuper de lui.
    - Bon musicien, il joue de la guitare, de la batterie et du violon. Il avait aussi longtemps hésiter entre un métier dans la musicologie, mais après tout, il est immortel ; pourquoi ne pas entreprendre une réorientation ?
    - Sous ses airs de rebelle à détester tout le monde et s'offusquer d'un rien, il aime être entouré comme un enfant.
    - Il déteste les réunions entre Negens. S'il le pouvait, il irait vendre son clan aux Anarchs, mais, ayant prêté allégeance à son mentor, il lui restera fidèle... Jusqu'à ce que ce dernier se lasse enfin de telles activités.
    - Il fume comme un pompier ...

▪ SANS LES CANINES.
    ● Pseudo&Age:Alan et 17 ans.
    ● Comment avez-vous connu le forum ? Comment le trouvez-vous ?
    //

    ● Code du règlement: check


Dernière édition par Alan Linard le Sam 28 Aoû - 1:02, édité 1 fois
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Kellen Jackson


Kellen Jackson

Age : 31
Localisation : Paris - Quartier Latin

Dirty little secrets
Âge RP: 23 ans en apparence...
Clan: Aucun
Relations:

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MessageSujet: Re: Alan Linard -    Alan Linard -  EmptyJeu 26 Aoû - 18:52

Bien évidemment, rien a redire ! ^^ La validation est automatique xD
Have fun ^w^
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