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 Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦

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Samuel Walsh


Samuel Walsh


Dirty little secrets
Âge RP: 42 ans
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Relations:

Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦   Empty
MessageSujet: Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦    Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦   EmptyDim 29 Aoû - 2:20


Samuel John Walsh

Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦   Sanstitre-3


    ● Nom: Samuel John
    ● Prénom: Walsh
    ● Date de Naissance et Âge: 42 ans, 23 octobre 1968
    ● Nationalité: Anglaise
    ● Groupe: Humain
    ● Métier: Premier secrétaire de l’ambassadeur de Grande-Bretagne à Paris.
    ● Lieu de Résidence: Un appartement de fonction à deux pas de l’ambassade


▪️ QUI SUIS-JE ?

    ● Caractère:
    Samuel n’a jamais était quelqu’un de très expressif. D’une timidité maladive, il a toujours eut beaucoup de mal à s’ouvrir aux autres. Tous sauf exubérant, il aspirait à une vie calme et monotone dans le Surrey. La vie en a décidé autrement et à fait de lui ce qu’il est aujourd’hui, quelqu’un de revêche et amer envelopper dans la carapace d’un mutisme presque complet. Un homme en colère qui se plonge dans son travail pour oublier sa souffrance. Ses collaborateurs le décrivent comme quelqu’un de fiable à qui ont peut confier les tâches les plus délicates. Fidèle au souvenir de la femme qu’il aime, il ne peut oublier, pardonner ni même abandonner. La seule émotion qu’il ressent est une colère sourde qui l’empêche de tomber amoureux à nouveau ou même de penser à refaire sa vie. Si il oublie un temps sa haine dans les bras d’autres femmes, c’est toujours la tristesse qui l’emporte, hanté par le souvenir d’une femme à jamais disparu. Il aime s’évader dans des paradis artificiels qui lui permettent de laisser retomber le poids des années d’errances maladives qu’il porte sur ses épaules. Il n’est plus que l’ombre de lui-même, vivant avec les fantômes d’un passé révolue. Peut enclin à tisser des liens, il préfère fréquenter des endroits branché ou underground ou les rencontres sont sans lendemain. Il ne hait pas les créatures de la nuit, mais plutôt cette chienne de vie et cette fatalité qui sont pour lui responsable de son malheur. Ayant des tendances à l’autodestruction et des poussées suicidaires, il ne passe jamais à l’acte, par lâcheté. Il n’a jamais était quelqu’un de très courageux, préférant s’enfermer dans ses problèmes que de les combattre. C’est beaucoup plus facile pour lui de vivre dans le noir que de tenter de refaire surface. La plupart du temps, il a l’impression de vivre dans un autre monde, perdu entre une bouteille de Whisky et quelques cachets de lexomil. Il se considère comme étant quelqu’un au caractère faible. La preuve en est selon ses différentes addictions dont l’envie même de sortir lui fait peur.




    ● Physique:
    Mince et plutôt grand, presque un 1m80, sans être massif, il n’est pas vraiment ce que la norme qualifierait de beau, à cause avec la structure osseuse atypique de son visage et du fait qu'il accorde rarement un sourire sincère. En politique, le sourire faux et de mise. Cela faisait beaucoup rire Leah qui disait qu'il avait le plus fabuleux des sourire, avec ses fossettes et ses dents blanches bien alignées. Lorsqu’il était jeune, il n’avait pas beaucoup de succès avec les filles. Cependant avec le temps, il a acquis le charme certain de l'expérience et ont le qualifie même d'attirant. Pourtant, les cernes sous ses yeux trahissent ses nuits d'errances et d'excès. Les yeux ourlé de violet après ses nombreuses nuits blanches lui donne l'air maladif. Si la quarantaine lui va bien, la tristesse beaucoup moins. Il n'y a plus la moindre étincelle de vie dans ses yeux noisettes délavés. Les cheveux châtain coupé court, il porte de petite lunettes carrés noires lorsqu'il travaille. Une barbe naissante est souvent présente sur son visage, pourtant, il préfère être raser de prés, mais néglige souvent ce détail. Il lui arrive parfois, lorsqu'il est au plus bas de sa dépression de se laisser pousser la barbe et les cheveux, ses supérieurs le rappel cependant à l'ordre afin qu'il redeviennent présentable au plus vite. Lorsqu'il est à l'ambassade il porte un costume , noir ou bleu foncé la plupart du temps, avec une chemise blanche et une cravate assortis. Un look strict et passe partout dans Paris et surtout dans les sphères politiques où il gravite. En dehors du travail il porte des vêtements plus décontracté notamment une vielle veste en cuir que lui avait offerte sa femme, et des jeans. Il porte son alliance en platine sans cesse sur lui, si elle n'est pas à son doigt, elle est autour d'une chaine autour de son cou. Il ne peut sortir sans sous peine de se sentir incomplet.


▪️ AI-JE VECU ?
    ● Histoire:


    Le jour où Samuel est né n’avait rien d’exceptionnel. Un jour d’octobre comme tous les jours d’octobre en Angleterre, gris et humide. Il pleuvait même un peu ce jour là d’après ce que lui avait dit sa mère. C’était un jour banal pour le commencement d’une existence banale.
    Les parents de Samuel travaillaient tout deux pour le cabinet du premier ministre. Ils s’étaient connus à Cambridge. Il vécu une enfance confortable, enfant unique d’un couple aimant, vivant dans un milieu privilégié, il n’a jamais manqué de rien.
    Dés son plus jeune âge, ses parents l’inscrire dans les meilleures écoles privées de Londres. Samuel était un garçon intelligent et sans histoire. Tout le monde lui promettait un grand avenir en politique et des années de gloires et de renommées.
    Ce n’était cependant pas ce à quoi il aspirait. D’une timidité maladive il se contentait de peu d’amis. Passionné par l’art, il aurait voulu être peintre ou sculpteur. Des rêves auxquels il s’interdisait même de penser tant ils lui semblaient irréalisables. Pourtant il gardait, précieusement chaque dessin, chaque peinture et passait des heures à regarder les images des ouvrages d’art dans la grande bibliothèque familiale. Il avait d’ailleurs un talent certain pour le dessin mais il ne montra à personne le moindre de ses dessins.
    Il n’avait jamais était un esprit fort. Suivant la ligne tracé par ses parents il renonça à tout, à la vie calme à laquelle il aspirait. Il entra à Oxford, sans vraiment y avoir réfléchi, pour y étudier le droit.
    Des années avec d’autres enfants riches et intelligents, des fils et filles à papa qui crachaient leur supériorité sur le monde. La plupart n’avaient même pas besoin d’aller à l’université, dés leur sortie, ils pourraient diriger l’entreprise de Papa et gagner des millions de livres par ans. Ils le répugnaient autant qu’ils le fascinaient. Depuis la prison de sa timidité, il les écoutait parler. Surtout à la bibliothèque, ils se plaçaient systématiquement au même endroit. C’était parfait pour Samuel qui s’asseyait à la table adjacente, caché par un rayonnage. C’est à cet endroit qu’il fit la plus belle rencontre de sa vie.
    Elle était blonde et pas bien grande, tout en elle était démurée, de ses grands yeux brun et ses lèvres beaucoup trop pulpeuse pour son visage poupon. Des cheveux blonds, trop blond pour être naturels. Elle était trop maquillée, trop parfumée. Ses vêtements faisaient tellement hors propos dans cette vieille bibliothèque, ce t-shirt rose flashy dans ce lieu d’histoire. Et puis il vit son sourire et il décréta qu’elle était belle anachroniquement et bizarrement belle. Elle s’était assise, en face de lui, sans lui demander la permission, un jour ou il était plongé dans un livre sur l’art antique.

    « Vous étudiez l’art ? »
    Une voix enfantine et haut perchée qui lui arracha un sourire.
    « Non, j’étudie le droit.
    - Je ne savais pas que les avocats aimaient autant les hommes nus. »
    - Je ne veux pas devenir avocat.
    - Mais vous aimez les hommes nus ? »


    Elle lui souriait. Sa petite langue entre ses dents à la manière d’une enfant prise en faute.

    « Non … non … je veux dire si, enfin j’aime l’art , mais enfin pas les hommes, enfin si les hommes… Je me ridiculise. »

    Et se constat la fit rire.

    Elle n’était pas étudiante à Oxford, elle n’était même pas étudiante du tout. Elle travaillait au bowling de la ville, avait arrêté ses études justes après son bac " Parce que je ne pouvais rien faire d’autre ". Il lui demanda ce qu’elle faisait là, elle lui répondit seulement qu’elle cherchait un bon partit à épouser. Elle lui avoua plus tard que la seule raison qui l’avait poussée à entrer dans cette bibliothèque c’était à cause du déluge au dehors. Ils se mirent à aimer la pluie tous les deux.
    Quand ils rirent ensemble, elle l’invita à boire un verre. Il accepta, surpris même par le fait qu’elle ai remarqué ce jeune homme timide dans le fond de la bibliothèque. « Je t’ai tout de suite remarqué, tu avais marqué « Homme de ta vie » sur le front» .


    Ils tombèrent amoureux très rapidement, il aimait sa fraicheur, de son rire aigu et de ses manies de « fille du peuple » comme elle aimait elle-même à s’appeler. Elle était née à Oxford, avait toujours vécu à Oxford, pourtant, elle lui ouvrit un monde de possibilité. Elle aimait son coté timide et intellectuel qui la changeait se ses précédents petits copains. Et puis elle aimait ses dessins. Elle avait trouvé la boite où ils les cachaient un jour où il était partit chercher des pizzas. Des paysages et des portraits, son portrait. Elle ne lui en parla pas tout de suite, attendant qu’il aborde le sujet lui-même. Il ne le fit jamais.

    Il ne voulait pas être avocat, il ne voulait pas être politicien, il voulait juste être avec elle. Pourtant, elle le força à finir ses études. Il l’épousa deux semaines après avoir eu son diplôme. D’abord surpris, ses parents acceptèrent rapidement la jeune femme. Qui n’aurait pu l’accepter ? Elle était tellement douce, tellement merveilleuse. Ils s’installèrent ensemble à Londres. Elle trouva du travail dans une banque, il trouva rapidement un poste dans un cabinet d’avocat. Leah se moquait souvent de sa perruque. Il ne pensait pas pouvoir l’aimer d’avantage et puis il la perdit.
    Cela faisait 5 ans qu’ils étaient mariés un bonheur absolu, des disputes certes, mais de l’amour, inconditionnel et puissant. Et puis un jour, il arrivait sur ses 30 ans, elle n’en avait pas 25, elle mourut.
    Ils c’était disputés ce soir-là, une bêtise dont il ne se souvient même plus. Elle était partie faire un tour pour se calmer. Il n’avait pas vu d’objection, cela lui arrivait parfois et si les rues de Londres ne sont pas les plus sures du monde, leur quartier était huppé et les risques minimes. Pourtant elle ne revient pas. Elle ne revint jamais. Il était aller se coucher, persuadé qu’elle reviendrait se blottir contre lui comme elle le faisait toujours. Mais le téléphone sonna sur les coups de 5 heures du matin, il sut que quelque chose était arrivé.

    « Monsieurs Walsh, ici l’inspecteur Shawn. J’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. »

    Elle était morte. Morte. Le monde entier était mort avec elle. Ses parents étaient morts, elle n’avait plus que lui. Il dut aller l’identifier, dans la brume matinale londonienne, ses poumons brulaient tandis qu’il éteignait une énième cigarette, patientant devant la porte de la morgue. Un drap un simple drap sur son corps, ses cheveux blond éparpillés sur un oreiller de métal froid. Morte. « Elle a été attaquée par un animal. » Un animal qui lui aurait fait deux petites entailles dans la chair de son si joli cou et l’aurait vidé de son sang. C’était autre chose, et il savait, leurs visages fermés et leur hâte de l’enterrer, cela cachait forcément quelque chose. Morte, elle était morte. L’horreur le fit vomir, plusieurs fois, de la bile et du sang, de la haine et de la souffrance. On lui avait pris sa Leah, sa seule et unique raison de vivre. Son cœur s’arrêta, et sa vie se finit à cet instant. Il l’identifia formellement, c’était sa femme, on lui rendit ses vêtements, son téléphone et ses autres affaires personnelles. Il lui choisit une jolie robe pour qu’elle repose dans un joli cercueil de merisier. Il était déconnecté de la réalité, les anxiolytiques qu’il prenait l’assommaient juste assez pour que la seule chose qu’il ressente soit la douleur, lancinante et déchirante. Il était un zombie dont les actions étaient dictées par la souffrance. Il assista à l’enterrement, il était soulagé qu’il fasse beau. Il n’aurait pas pu supporter qu’on lui enlève le bonheur de penser à la pluie.

    Il avait avalé une bouteille de whisky , avalant plusieurs somnifères entre chaque gorgée. Il n’était pas retourné au travail, personne ne s'inquiéterait s'il ne se montrait pas demain, et qu’importe si quelqu’un venait taper à la porte il serait déjà trop tard. Il sentait déjà la nausée qui l’envahissait, l’engourdissement comme après un baiser. La mort c’était comme l’amour. C’est peut être pour ça qu’il vit Leah sur le seuil de la porte qui l’exhortait de la laisser entrer. Il le fit, elle vint lui tenir la main. Il la vit s’emparer du téléphone et puis plus rien.

    Il entendait du bruit, quelqu’un appuyait à intervalle régulier sur sa poitrine, autour de lui des sons et des paroles. « Du charbon, c’est une tentative de suicide, intoxication sévère aux somnifères et à l’alcool. » Il replongea dans le noir.

    Il se réveilla dans une blancheur aveuglante. Il espéra que c’était le paradis. C’était seulement une chambre d’hôpital. Mais elle était là, assise sur une chaise, attendant son réveil. C’était peut-être le paradis.

    « Leah. »

    Elle s’approcha, mais elle était différente, plus pâle, plus triste. C’est donc ça que le paradis fait aux gens ?

    « C’est moi Samuel.
    - Où suis-je ?
    - A l’hôpital mon cœur.
    - Tu es morte Leah, tu es partie.
    - Oui, je suis morte, écoute-moi Samuel, je n’ai pas beaucoup de temps, les infirmières vont venir et voir que tu es sorti du coma. Écoute Samuel, je n’ai pas était attaquée par une bête sauvage, c’était autre mon ange, autre chose tu m’entends. Je ne suis plus celle que tu as aimé, je suis devenue comme lui. Je vais te laisser Samuel. Il n’y a rien que tu puisses faire à part te souvenir de moi. Ne refais jamais ce que tu as tenté de faire quand je t’ai trouvé. Je venais te dire au revoir, j’ai hésité à le faire, j’ai bien fait. Tu ne dois pas mourir Samuel, parce que si tu meurs, tu seras tout seul. Je ne suis pas au paradis ni en enfer, je suis ici. Je suis venue chaque jour. Entre les rondes des infirmières. Je ne viendrais plus à présent. Je ne sais pas si tu comprends ce que j’essaye de te dire, je suis un vampire. Je ne sais pas comment cela est arrivé mais c’est ainsi. Je t’aime Sam, mais je lui appartiens à présent. Ne me cherche pas, je sais que tu le feras, mais je t’en prie, abandonne. Il n’y a plus d’espoir pour nous. Je t’en prie, si tu m’aimes fais-le pour moi. On se reverra un jour je te le promets. »

    Et avant qu’il ai eu le temps de dire quoi que ce soit. Elle était partie. Il se rendormit. Mais son image ne disparut pas. Il était persuadé avoir rêvé. Son coma avait était profond, son cerveau avait certainement subit des dommages. Il essaya de se persuadé que l’illusion aussi réelle soit elle était un signe que son cerveau était malade. Pourtant, l’image ne disparu pas. Et il commença à douter.

    Ses doutes furent confirmés quand trois jours après son réveil deux inspecteurs vinrent le voir. Il était certainement ridicule dans son pyjama d’hôpital à les écouter parler.

    « Nous savons que votre femme est venue vous voir.
    - Ma femme est morte.
    - Nous savons vous et moi que ce n’est pas tout à fait vrai. »

    Et ils lui parlèrent, des vampires et des loups-garou, d’un monde qu’il ne soupçonnait même pas. Comment en avaient-ils eut la connaissance ? « Il suffit de regarder attentivement. » Et maintenant qu’il y pensait, c’était tout à fait plausible. Les choses inexplicables qu’on attribuait aux animaux, aux fuites de gaz ou de produits chimiques.

    « Pourquoi est-ce que vous me dites toutes ses choses ?
    - Pour vous prévenir monsieur Walsh. Ce n’est pas votre femme qui est venue vous voir ici. Votre femme n’existe plus, elle a été remplacée par un monstre qui habite son corps. Vous ne devez pas la chercher. »

    Il feignit d’avoir compris, mais il n’en croyait pas un mot. Il fallait qu’il la retrouve, coute que coute, il avait retrouvé une raison de se battre. Il allait libérer sa femme.
    Alors il fit des recherches, pendant des jours et des semaines entières, il rencontra des gens qui comme lui avait vécu la perte d’un proche « attaqué par un animal. » .Il est entré en contact avec des « chasseurs » ces humains qui traquent les créatures. Il apprit finalement que la grande majorité des vampires européens ne restaient pas dans leur ville bien longtemps. Ils préféraient voyager. Leah avait toujours aimé les voyages.

    Il vendit son appartement, prétexta de vouloir se ressourcer, quitter l’Angleterre et ses souvenirs trop douloureux. Sans attache et sans regrets, il partit à la recherche de sa femme. Son diplôme et ses relations lui permirent rapidement d’entrée à l’ambassade du Royaume-Unis, d’abord en Allemagne, il passa quelque temps en Italie, les vampires adorent Venise. Il fit le tour de l’Europe d’ambassades en ambassades, se faisant transférer dés qu’il avait acquis la certitude que Leah n’était pas là. Son statut lui permettait d’avoir accès à des informations sur les crimes non résolus. Que pouvait-on refuser à cet avocat veuf assaillit par la tristesse. Il traqua sa femme, aux quatre coins de l’Europe, suivant la trace des agressions qu’il savait être vampirique.
    Il atterrit finalement à Paris. Elle était là. Il en avait la certitude, elle lui avait souvent parlé de venir s’installer en France dans leurs vieux jours.
    Cela faisait 8 ans qu’elle était partie, et c’était comme si il en avait 150.
    Il s’était perdu, dans les plaisirs rapide et dérisoires, dans la drogue et dans l’alcool, dans le sang de vampire et les médicaments, dans les femmes aussi, des blondes des brunes des rousses, des prostituées ou des femmes respectables, des humaines ou des vampires. Une vie d'oubli.
    Le milieu de la nuit « vampirique » à Paris est particulièrement actif. Il savait qu’elle était là, il l’avait vu plusieurs fois, au loin, et puis elle avait disparu. Peut-être était elle partit, mais elle reviendrait, alors il restait là, à l’attendre. Elle revenait toujours à Paris, peut-être parce que son créateur était Français. Son créateur, l’homme qui l’accompagnait sans cesse. Il voulait le tuer, le brûler vif ou le décapiter, l’ouvrir et boire son sang. Oh, encore plus que l’envie de retrouver sa femme, il y avait la haine pour cet « homme » qui partageait la couche de sa femme à présent. Qui avait souillé l’âme de sa belle Leah.

    Il sait qu’en ce moment, ils sont à Paris. Une de ces connaissances le lui à dit. Un chasseur avec qui il a des contacts parfois, lui aussi à perdu sa femme à cause d’un vampire. Elle, elle avait été tuée.

    Parfois il arrive à Samuel de se demander si cela ne valait pas mieux que Leah soit morte. Il serait mort à l’heure qu’il est et surtout ils seraient ensembles.


    ● Précisions:


    ● Il ne ressent pas de haine particulière pour les vampires, uniquement pour le créateur de sa femme.


▪️ DERRIÈRE LE MASQUE.
    ● Pseudo&Age: Lou, 19 ans
    ● Comment avez-vous connu le forum ? Comment le trouvez-vous ? [justify][/Grâce à Alan, pour ce qui est de comment je le trouve, je peut pas vraiment répondre objectivement à cette question … justify]
    ● Code du règlement: Check by Alan. [ c'toi la psychopathe ♥️ ]


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Dernière édition par Samuel Walsh le Sam 4 Sep - 4:57, édité 4 fois
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Kellen Jackson


Kellen Jackson

Age : 31
Localisation : Paris - Quartier Latin

Dirty little secrets
Âge RP: 23 ans en apparence...
Clan: Aucun
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MessageSujet: Re: Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦    Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦   EmptyMar 31 Aoû - 2:10

Bienvenue et bonne continuation pour la fiche ! ^^
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Alan Linard


Alan Linard

Localisation : Dans les ruelles de Paris, lorsqu'à Montmartre il fait nuit...

Dirty little secrets
Âge RP: 21 ans.
Clan: Negens.
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MessageSujet: Re: Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦    Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦   EmptyVen 3 Sep - 1:15

Bienvenue mon petit Sam' *sourire sadique.*

Je te valide sur ce pas , superbe histoire Wink !!
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MessageSujet: Re: Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦    Samuel Walsh ♦ Too sick to pray ♦   Empty

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